« En toute chose c’est la Fin qui est Essentiel » *. Le règne de l’algorithme a commencé, pour le meilleur…et pour le pire. L’analyse de données personnelles au moyen de techniques de « Data Mining » relève néanmoins de la loi informatique et libertés du 06/01/1978.
« En toute chose, c’est la fin qui est Essentiel », Aristote.
A ce titre les données personnelles doivent obligatoirement être collectées pour des finalités « déterminées, explicites et légitimes » et il est interdit de les traiter ultérieurement pour des « finalités incompatibles ».
En résumé, on ne peut pas utiliser ni réutiliser comme on le souhaite les informations concernant des personnes, et ce, quand bien même elles auraient été rendues publiques.
Les techniques d’analyse de données permettent aujourd’hui de traiter un maximum de données publiques ou privées, de sources multiples plus ou moins connues et de les réutiliser à des fins autres que celles prévues voire même imaginées lors de leur collecte initiale.
Toute la difficulté de l’exercice consiste donc à concilier les pratiques liées aux Big Data avec les principes de protection des données personnelles. «
…